J3 – Nawel Oulad & Antonin Sgambato

La danse de confinement 24

 

La représentation de la danse pendant le confinement change.

Le balcon n’est plus utilisé pour le public comme dans les théâtres à l’italienne, mais utilisé comme scène par les créateurs.

Le public lui, utilise parfois des jumelles pour observer la danseuse, comme à l’opéra.

L’art confiné est alors un spectacle vivant de nouvelle génération.

Le public du web quand à lui, vit un moment artistique dans une réalité virtuelle passée.

Le spectacle n’est plus dans l’instant et n’a plus de raison d’être comme dans la réalité présente.

L’art confiné est alors un spectacle de réalité virtuelle utilisant du vivant passé.

Arnaud NANO Méthivier et Pierre-Marie PEM Braye-Weppe, curateurs du Festival des Arts confinés.

 

 

Lors du premier confinement, j’ai eu à coeur de faire un journal dansé de confinée pour rester dans une dynamique créative de partage.

La « danse de confinement 24 » est un time laps au balcon durant le coucher de soleil. D’abord imperceptible, progressivement la nuit s’installe. La danse tantôt lente, tantôt rapide, parfois saccadée, graphique ou biscornue nous entraine dans une traversée du temps qui passe comme une allégorie du quotidien d’une confinée. Danseureusement,       

Nawel Oulad

 

En savoir plus sur Nawel Oulad :  www.naweloulad.com

 

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