Chaque période, chaque art à son allégorie. Du « Sacre de Napoléon » , au « Radeau de la Méduse ». De l’allégorie de la toute et sainte puissance et de celle du désastre.
Il y a dans le romantisme plus que dans tout autre attitude artistique, la volonté d’une représentation subjective et sensible de la réalité, alliée à une réaction, parfois violente contre l’ordre et la primauté de la raison.
Ici, il y a entre autres la technologie, l’intelligence artificielle, la raison et le coeur. Un coeur qui se doit d’être haut perché dans des nasses technologiques. Ces nasses nous permettent de communiquer ensemble. A quel « prix sentimental » ? Voilà une des questions soulevée aujourd’hui – en toute sensibilité – par l’Art Confiné.
« Qui dit romantisme, dit art moderne, c’est à dire intimité, spiritualité, couleur, aspiration vers l’infini, exprimées par tous les moyens que continent les arts » . Charles Baudelaire
Pierre-Marie PEM Braye-Weppe et Arnaud NANO Méthivier, curateurs du Festival des Arts Confinés
» Nos coeurs sont accrochés à des satellites, aujourd’hui se parler est un jeu d’enfant qui tourne en orbite. On a hâte d’être Demain pour enfin en vrais se prendre la main. »
Clément Merle, dessinateur
En savoir plus sur…
insta : @basileernest