J18 – m.c de Beyssac

Águas de Março

Il y a des confinements sains, des confinements citadins, des confinements à l’air libre à la campagne et aussi des confinements dans la rue, des confinements sous des torrents d’eaux. Cette pastille de cinéma du réel proposée par Marie-Cécile Conilh De Beyssac nous mène à une des définitions des confins. Ces confins sont ici des limites, comme de l’eau près d’un un fil électrique. Ces limites sont des conséquences de l’austérité et de la misère social que l’isolement ne peut que mettre en valeur. Cette vidéo est un regard sur le monde, au Brésil comme partout dans le monde, partout dans les rues.

Pierre-Marie Braye-Weppe, curateur du festival des arts confinés

 

Captation images 2017,  Rio de Janeiro. Montage mars 2020.

« Sentiments confinés, piégés, mixtes, derrière la fenêtre, le déluge, distanciation sociale, isolement, não deixa samba o morrer….fora B.(olsonaro), arte que resiste. »

Marie-Cécile Conilh De Beyssacartiste, vidéaste.

En savoir plus…

www.mcconilhdebeyssac.com

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