L’Homme reste de marbre devant sa situation confinée.
Les sculptures représentants des hommes et des femmes sont bientôt les seules représentations de l’Homme dans les cités qu’ils ont construit.
Ce ne sont plus les humains vivants qui créent la présence humaine sur terre, mais des êtres du passé statufiés, immobiles, figés à une unique émotion, qui ont été placés sur les places des cités pour leur héroïsme historique. En 2020 entre 2 confinements, la société mondiale avait entrepris de remettre en question beaucoup de ces statues sans qu’il ne s’en crée des nouvelles.En devenant témoin moderne de la vie des humains, l’Art Confiné devient non seulement légitime, mais utile, comme jadis les livres d’histoires.
Arnaud NANO Méthivier et Pierre-Marie PEM Braye-Weppe, curateurs du Festival des Arts confinés.
« Pour une danseuse rythmicienne, qui vit au rythme des collaborations, des rencontres et du partage, le confinement a été un arrêt brutal, un moment de retraite intérieure. Dans l’immobilité, j’ai eu besoin de m’exprimer par un autre biais que le spectacle vivant et le montage de mes photos prise au fil des ans s’est imposé. C’est un voyage visuel, poétique et personnel… »
Leela Petronio
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